Marine

Traduit de l’anglais par Marc FAVRE, préface de Caroline FAVRE, introduction d’Olivier MENDEZ, rédacteur en chef de Latitude 41
« C’était la plus grande embarcation voguant sur les flots et la plus prestigieuse création de l’homme. Toutes les sciences et tous les corps de métiers connus de notre civilisation avaient contribué à sa construction et assuraient sa maintenance… Insubmersible, indestructible, il transportait le nombre minimum de chaloupes qu’exigeait la loi. »
C’est ce qu’écrivait en 1898 Morgan Robertson, dans ce roman d’une extraordinaire intensité.
Écrit quatorze ans avant le plus grand désastre maritime civil de tous les temps, ce livre fut publié pour la première fois en 1898 sous le titre Futility par M.F. Mansfield, dans l’Illinois, aux États-Unis. À la suite du naufrage du Titanic survenu le 14 avril 1912, le livre fut réédité sous le titre Le Naufrage du Titan par Mac Lure magazine et le Metropolitan magazine de New York.
Il est étrange de constater que Le Naufrage du Titan, œuvre de pure fiction, fascine le public plus que toute autre histoire écrite sur le naufrage lui-même. Seul le lecteur pourra dire si le récit est une incroyable prémonition, ou simplement la prédiction faite par Robertson, de ce qui pourrait arriver si des changements n’intervenaient pas dans les lois et des règles de navigation qu’il jugeait archaïques, de l’époque.
Écrit quatorze ans avant le plus grand désastre maritime civil de tous les temps, ce livre fut publié pour la première fois en 1898 sous le titre Futility par M.F. Mansfield, dans l’Illinois, aux États-Unis. À la suite du naufrage du Titanic survenu le 14 avril 1912, le livre fut réédité sous le titre Le Naufrage du Titan par Mac Lure magazine et le Metropolitan magazine de New York.
Il est étrange de constater que Le Naufrage du Titan, œuvre de pure fiction, fascine le public plus que toute autre histoire écrite sur le naufrage lui-même. Seul le lecteur pourra dire si le récit est une incroyable prémonition, ou simplement la prédiction faite par Robertson, de ce qui pourrait arriver si des changements n’intervenaient pas dans les lois et des règles de navigation qu’il jugeait archaïques, de l’époque.
S’il est un livre mythique pour les passionnés de l’histoire du Titanic, c’est bien Le Naufrage du Titan. La présente édition a été réalisée avec l’aide et le soutien historique de l’Association Française du Titanic, qui se réjouit de lire enfin une version française de qualité, cent deux ans après la première publication de Futility aux États-Unis.
200 pages
portrait de Morgan Robertson

Un recueil de 13 nouvelles inédites illustrées par de superbes dessins de Jennifer Angevin. À moins de s’appeler Stephen King, et encore, difficile d’aligner autant d’histoires qui soient de qualité égale. Phareland
« Vos mères vous ont peut-être dit que les phares, étaient là pour éclairer la mer; n’en croyez rien, ils sont là pour dire aux marins où ils sont ».
« Le soulagement que l’on peut prouver quand, par temps bouché et une estime incertaine, on aperçoit enfin l’éclat qui va permettre de recaler sa position, montre bien toute l’importance que revêtent les phares pour les navigateurs ». Éric TABARLY
Traits d’union entre la mer et le ciel, les silhouettes des phares sont les bornes dressées par les hommes aux limites de leurs terres et de leurs peurs maritimes. Leurs feux n’ont cessé d’enflammer l’imagination, d’attirer le regard et l’objectif photographique. Moins souvent, la plume de l’écrivain a cherché à rêver les humbles mystères ou le terrible quotidien cachés au creux de leurs corps de pierre. C’est chose faite dans cet ouvrage où François ANGEVIN a su, avec quelques belles ou étranges histoires, évoquer le destin des phares de France et de leurs gardiens.
Les récits du livre :
Le cyclope de pierre : Boulogne-sur-mer, (phare de Boulogne-sur-mer) L’heure de la revanche : Dieppe (phare d’Ailly, phare des jetées de Dieppe)
De l’autre côté : Honfleur (phare de Honfleur)
La dernière marche : Pointe de Barfleur (phare de Gatteville)
Le marin tombé à la terre : Granville (phare de la pointe d’Agon)
Pour l’amour des phares : Cancale (Phare de la Pierre-du-Herpin)
Pas de deux à Enez Eusa : Ouessant et ses phares
Les enfers sont toujours là quand il faut : Phare des Pierres Noires (Finistère, Le Conquet)
La mer à boire : Brest (phare de Quelern, sur la presqu’île de Quelern)
Duel salé : phare des Cardinaux (Morbihan, commune Hoëdic)
Phare à tout prix : île de Ré (phare des Baleineaux)
Les hommes de la pierre et du vent : Phare du Four du Croisic (Loire atlantique, commune Le Croisic).
Vague à l’âme : estuaire de la Gironde, bateau feu de Talais.
Un entretien avec l’auteur, François ANGEVIN
Pour en savoir plus sur la Société nationale pour le patrimoine des Phares et Balises
222 pages

En 1793, alors que la terreur bat son plein, la Marine française s’adapte tant bien que mal aux bouleversements de la Révolution. Pour Athanase Delrieu, c’est une aubaine : à 18 ans, cet aspirant de première classe va prendre le commandement de sa frégate après une bataille meurtrière contre les Anglais qu’il va continuer à combattre mission après mission, jusqu’en Amérique.
Mais l’Angleterre n’est pas son seul ennemi. Il va devoir affronter le farouche Jacobin Bourdier, aspirant à bord du même bateau, des Royalistes et surtout une troupe de Chouans avec à leur tête Olympe de la Sablière de Grandet. Et Athanase n’est pas insensible au charme et au courage de la belle…