Attention l'interview commence à la 36e minute.
Nos titres
Nos auteurs
Produits dérivés
Rencontres auteurs
Club VIP
Qui sommes-nous ?
FAQ
Revue de Presse
Contact
Consultez dans cette rubrique les articles consacrés à nos ouvrages.
mercredi 25 mai 2016
Corsaire sur radio Arc en ciel : Josiane GuibertPar Administrateur réseau le mercredi 25 mai 2016, 22:40
mardi 24 mai 2016
Actualités : Anna Seybola à l'École régionale du travail social à Olivet (45)Par Administrateur réseau le mardi 24 mai 2016, 18:28
dimanche 24 avril 2016
Le talent de Dominique MANTEL au service de CORSAIRE !Par Administrateur réseau le dimanche 24 avril 2016, 12:39
Installé à Argenton depuis 1974, le peintre aime décliner les paysages locaux. Fils et neveu de peintres, il s’est très tôt passionné pour l’art.
Après sa formation à l'École nationale supérieure des arts décoratifs, parallèlement à sa formation d'enseignant au lycée Claude-Bernard à Paris, il est affecté comme professeur d'arts plastiques au lycée Rollinat, à Argenton-sur-Creuse. Il y enseignera durant toute sa vie professionnelle.
Il développe au fil du temps sa passion pour le dessin, la peinture et la gravure, considérant qu'il faut « beaucoup de travail, notamment réaliser de nombreux dessins, pour se construire une vision artistique ». Actuellement installé au Moulin de Bord, qu'il a rénové avec sa famille, il aime peindre la Creuse dans toute sa variété. « Ce qui m'intéresse dans la peinture est l'impression du sujet, l'effet fugace, le travail sur le motif. Il est important de s'adapter au sujet pour le servir au mieux ». Ainsi, il peint à l'huile sur une large palette de couleurs, intéressé par le portrait et les séries.
Passionné par le travail de Claude Monet qui réalisait de nombreuses séries sur les rochers de la Creuse notamment, il aime comprendre et reprendre l'exercice, les reflets, les éléments et la transparence des eaux, tout particulièrement. Ainsi, il offre à travers la richesse de ses peintures, les marais de Bourges, les évolutions de la Creuse à Argenton et bien d'autres paysages familiers. Pour cela, il réalise un certain nombre de polyptyques. Il s'agit parfois pour le peintre d'« aller à l'essentiel, sans beaucoup de moyens ». A la demande de l'université populaire, il présentera, à l'occasion de la prochaine rentrée, son regard sur « l'intérêt des séries en peinture ». Il réalise par ailleurs des gravures et des illustrations de livres, comme Les Voiles de la République, d'Antonio Ferrandiz, aux Éditions Corsaire.
Il apporte également son concours à Pratique des Arts pour faire partager sa connaissance et son expérience. A Argenton, il aime ouvrir son atelier aux visiteurs qui peuvent profiter d'expositions temporaires, mais aussi du catalogue de toutes ses créations disponibles.
Dominique Mantel expose actuellement « Eaux tranquilles » au Moulin de Bord, le dimanche, de 15 h à 19 h. Contact : tél. 02.54.24.32.52 ou 06.89.19.22.40 ; blog : http://moulin2.blogspot.com
jeudi 21 avril 2016
Un livre idéal pour aller à la rencontre du monde des vrais mariniers écrit fleuves-et-canaux.netPar Administrateur réseau le jeudi 21 avril 2016, 09:41
L’aventure, c’est l’aventure, parole de marinier…
En voilà un livre qui porte beau ! rien qu’à la couverture, l’envie d’aller plus loin et d’entreprendre le voyage vous titille et commence à vous déranger les amarres, la Loire vous appelle et se rappelle à vos bons souvenirs de navigateur…
Entreprendre la Loire, c’est entreprendre un voyage dans le temps et dans l’histoire, les deux étant avec ce fleuve-là indissociable l’un de l’autre tant le mélange des genres est grand, tant la Loire est captivante, tant elle est passionnante. Vous voilà donc prévenu car après lecture, vous n’aurez qu’une envie c’est d’aller à sa rencontre et d’y naviguer sur un de ces chalands qui y sont d’abondance et force renaissance…
Quand un livre donne autant envie de quitter le port, c’est qu’il est bon, voire excellent et sous la signature de Jean-Pierre Simon et Bruno Porlier pour les textes, la transmission de savoir est garantie, c’est magnifiquement ciselé de belle manière. Quand aux très nombreuses photos et autres dessins, là encore, on retrouve Bruno Porlier accompagné cette fois par Jacques Poirier et ma foi c’est une réussite… Un livre d’histoire mais bien plus, c’est une remontée dans le temps parfaitement maîtrisée, ce qui fait de cet ouvrage une porte grande ouverte sur la connaissance, en somme un livre idéal pour aller à la rencontre du monde des vrais mariniers, ces descendants de la grande tradition de la marine fluviale.
La Loire ouvre sur des horizons d’une grande richesse et des paysages d’une fabuleuse beauté, une idée qui sait d’avoir un jour l’envie d’y passer paisiblement ses vacances en regardant le soleil se lever dans la brume et dévoiler un peu des mystères d’un fleuve, pas vraiment comme les autres…
lundi 4 avril 2016
Détours en FrancePar Administrateur réseau le lundi 4 avril 2016, 20:16
jeudi 24 mars 2016
fleuves-et-canaux.net évoque Le Temps des Canalous... Un livre magistral.Par Administrateur réseau le jeudi 24 mars 2016, 10:28
La belle époque...
Que du bonheur ! un livre sur les mariniers, c'est tellement rare qu'il en est de plus précieux à nos yeux, voilà qui nous change l'horizon de la mer pour celui des canaux...
Écrit en son temps par le regretté Roger Semet et ô bonne et excellente idée réédité en texte original par nos amis de Corsaire Éditions. Ce livre là ne se rate pas, il s'acquière direct, se savoure de pages en pages, se garde précieusement tant il est bon, tant il est une magnifique source d'histoire, celle d'une époque totalement révolue, celle où les gouttes de sueur des mariniers venaient à remplir les écluses, tant ce labeur était dur mais tant ils étaient dignes ces hommes et ces femmes là... Car il fallait les faire les heures à tirer à la bricole ou au percherons voire à l'âne ou au mulet ces péniches Bérrichonnes chargées à ras bord par tous les temps que Dieu fait... Dur à la tâche, rugueux à la vie, solidaire ou solitaire qui accompagnaient leurs efforts à grand coups de gros rouges...
Ce livre est leur histoire, celle du petit peuple des gens de l'eau que l'on dit douce et qui est faite de tant de souffrance mais aussi de joies immenses... Ce livre est une ode aux temps d'hier à une époque révolue, "une belle époque" selon un journaliste Parisien en mal de titre ou de formule magique...
A lire en urgence pour comprendre et ne jamais plus se plaindre de notre sort moderne... En somme un livre magistral...
vendredi 18 mars 2016
Apostrophe45 : CORSAIRE absent du Salon du Livre de ParisPar Administrateur réseau le vendredi 18 mars 2016, 18:17
jeudi 10 mars 2016
Alain KERHERVÉ à Nancy, prone la Révolution socialePar Administrateur réseau le jeudi 10 mars 2016, 22:43
lundi 7 mars 2016
Conférence d'Alain KERHERVÉ à la Fondation Charles de GaullePar Administrateur réseau le lundi 7 mars 2016, 00:02
vendredi 26 février 2016
54 Hebdo évoque Une Révolution en héritage : Un vaste panorama à ne pas ignorer.Par Administrateur réseau le vendredi 26 février 2016, 12:12
lundi 11 janvier 2016
Une Révolution en héritage dans France Terres d'histoirePar Administrateur réseau le lundi 11 janvier 2016, 12:46
dimanche 10 janvier 2016
Un quatrième livre pour Jacques JOUANNEAUPar Administrateur réseau le dimanche 10 janvier 2016, 13:05
Après Rougeux, passeur de Loire, Prodiges de Loire et Flèche de tout Blois, voici Cendres dispersées, le quatrième livre de Jacques Jouanneau. L'ouvrage est original et court, à peine 80 pages. Il regroupe des réflexions, des souvenirs et des pensées « dans le vent de galerne », allusion à ce vent glacial du Nord qui a dispersé les cendres du duc de Guise et de son frère, le cardinal de Lorraine, le 24 décembre 1588, après qu'ils ont été tués par le roi Henri III à Blois. Cette célèbre page de notre histoire locale est habilement déroulée par Jacques Jouanneau qui l'utilise comme un fil rouge dans l'agréable labyrinthe de ses considérations culturelles, artistiques, sentimentales, philosophiques ou spirituelles. Nous passons ainsi sans difficulté du vol du papillon, « un cheminement de ministre en exercice », à la question posée à Toutankhamon : « Nous diras-tu si tu es vraiment de la XXXe dynastie, ô toi, roi sur le Nil ? ». Nous suivons avec bonheur « le ballet des martinets dans le ciel bleu de mai » et partageons la même ironie que l'auteur au spectacle de nos députés à l'Assemblée nationale : « Ils sont là, assis et prennent la pose avantageuse quand la caméra se fixe sur eux. L'instant d'après, ils se tassent, baillent, se grattent le nez, toussent, soupirent, somnolent. D'autres lisent le journal, finissent les mots croisés ». Ainsi, notre écrivain a des audaces : il ose dire n'aimer que modérément La Joconde mais se passionner pour les constructions impossibles d'Escher. Il critique notre anglophilie outrancière mais admire la peinture de Turner. Il se méfie de l'ordinateur et attend le peintre qui pourra fixer le parfum de la rose sur la toile. Jacques Jouanneau est le parfait honnête homme, un humaniste ouvert à la musique, à la poésie, à l'histoire, à la littérature, à la peinture, à la nature… et à la paix. Il donne envie de le suivre dans ses élans. Grâce à son talent, les cendres dispersées deviennent un joli bouquet de fleurs rassemblées.
Cendres dispersées, aux éditions du Corsaire. 12 €. Disponible en librairie et chez l'auteur à Cour-sur-Loire.
Cor. NR : Bernard Fauquembergue
Jacques devant sa Loire : « Une écharpe soyeuse posée sur l'épaule de la France ».
mardi 8 décembre 2015
Dans le Journal de la Saône et Loire : Roger LuquetPar Administrateur réseau le mardi 8 décembre 2015, 22:46
mardi 1 décembre 2015
Le bon, le brut et le brillant dans Tribune hebdoPar Administrateur réseau le mardi 1 décembre 2015, 13:39
Par Administrateur réseau le mardi 1 décembre 2015, 11:32
Le temps des Canalous est un roman drôle et rondement mené sur la batellerie du centre de la France au début du XXe siècle. C'est aussi une ode, précisément documentée, aux haleurs, ces forçats de la bricole (*), et au petit peuple des canaux. Publié en 1972 par Roger Semet (1910-1975), Bourguignon, journaliste et chroniqueur au "Canard enchaîné", le livre donne vie à une réjouissante collection de personnages, et allie une belle érudition à la truculence de la langue. Epuisé depuis des années, l'ouvrage vient enfin d'être réédité (**) par Corsaire Éditions.
Il y a du Frédéric Dard, versant San Antonio, dans la langue de Semet. Chez ses Canalous, les pères de famille n'ont pas des bouches à nourrir, mais "des culs à faire péter". Ses personnages, gaillards, bruts de décoffrage, mettent autant d'enthousiasme et de gaité à se mettre sur le museau pour un oui pour un non, à boire bien après plus soif ou à aimer leur prochain. La vie est dure le long des canaux, les gosiers secs et les sentiments pas compliqués, mais les cœurs sont grands. Les gâs comme les fumelles (en bourguignon dans le texte) y travaillent dur, à tirer du sable dans la Loire, charger du charbon, laver le linge dans l'eau glacée, faire aller droit des théories d'enfants, ou encore, comme Canéné, le héros du livre, à s'esquinter l'épaule sous la bricole, de Digoin à Saint-Mammès et de Saint-Mammès à Digoin.
Pour décrire les jeunes années de son héros, Semet s'est inspiré de sa propre enfance, passée, insouciante sur les berges de Digoin (Saône-et-Loire). La suite, l'auteur l'a nourrie de "vitamines culturelles" : "Ces vitamines, je les maraudai dans de gros gras vieux bouquins de la Bibliothèque nationale, dans des dossiers obèses d'ingénieurs de la navigation, dans des placards d'éclusiers (...). Mais surtout dans les vapeurs d'un litron de picrate posé sur le cul d'une péniche ou le zinc d'un café de la Marine" prévient-il dans sa Préface, un passionnant texte préliminaire où l'auteur explique notamment comment les canaux sont apparus grâce aux Wisigoths et à leurs moulins...
Si la réédition de cet ouvrage mythique qui se doit de figurer dans toutes les bibliothèques batelières doit être saluée, nous regretterons cependant que les notes qui sont venues l'augmenter soient trop souvent erronées, voire même carrément à contresens. C'est sûr Canéné, l'aurait pas aimé ça...
(*) NOTE => Bande de cuir ou de tissu passée en travers de la poitrine pour tirer les bateaux.
(**) NOTE => À sa sortie, en 1972, "Le temps des Canalous" a été récompensé par l'Académie de l'humour et l'Académie de navigation.
vendredi 27 novembre 2015
André ROBILLARD décoréPar Administrateur réseau le vendredi 27 novembre 2015, 14:21
L’art ne vient pas dans les lits que l’on faits pour lui, il se sauve aussitôt que l’on prononce son nom: ce qu’il aime, c’est l’incognito, ses meilleurs moments sont quand il oublie comment il s’appelle ! »
Jean Dubuffet
André Robillard est sans doute un des artistes orléanais vivants (il vient d’avoir quatre vingt quatre ans) les plus connus et exposés aujourd’hui: ses fameux fusils (dont il tient à préciser qu’ils sont inoffensifs, ceux-là) font non seulement partie des collections permanentes du Musée de Lausanne, de Lille ou d’Orléans, mais il fait, depuis les années 90, l’objet d’expositions une peu partout en Europe, du musée d’Orléans récemment, à celui de Moscou prochainement.
Un article de Gérard Poiton dans MagCentre.
jeudi 26 novembre 2015
Jean-Pierre SIMON sur RCF OrléansPar Administrateur réseau le jeudi 26 novembre 2015, 20:55
jeudi 5 novembre 2015
LOIRE&ORLÉANS ÉCO : CORSAIRE, maison d'édition à taille humainePar Administrateur réseau le jeudi 5 novembre 2015, 20:00
lundi 2 novembre 2015
Fluvial salue L'Aventure de la Marine de LoirePar Administrateur réseau le lundi 2 novembre 2015, 22:23
Par Administrateur réseau le lundi 2 novembre 2015, 16:10
Bonne nouvelle pour les lecteurs digoinais qui apprécient l’œuvre de Roger Semet, Le Temps des canalous vient d’être rééditée aux éditions Corsaire. Né à Digoin, où le collège porte son nom, Roger Semet a passé sa vie en Bourgogne. Instituteur à Viré, il a été le témoin de son temps et de sa région. Ainsi, il a été l’auteur des Propos bourguignons dans le Progrès. Le Temps des canalous , publié en 1972, a reçu le prix de l’Académie de navigation intérieure.
« billets précédents - page 16 de 29 - billets suivants »